10  0 10 16h56-18.04.24

Veuillez installer Shockwave et Adobe Flash Player. Si vous utilisez Google Chrome, il faut autoriser le contenu Flash du site dans les paramètres


Home
News
Members
Sponsors
Forum
Scene News
Team
Results
Awards
Event
History
Demos
Servers
Download
Gallery
Press
Contact

Abonnement Gamoniac


 

 
  Bridge Four09 : 13
  4 Real13 : 11
  Fatality #FTY15 : 16
3
4
Alcyone
Goldenaura
Jeu video, coût et publicites

L'industrie du jeu vidéo recherche de nouvelles sources de revenus. Les nouveaux dispositifs techniques et commerciaux qu'elles utilisent peuvent se faire au détriment  du consommateur.

Mais il existe divers moyens de se protéger. Certains sont fournis par Avast, leader mondial de la sécurité digitale.


Le marché du jeu vidéo en France ne s'est jamais aussi bien porté, selon un rapport du SELL (Syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs) datant de février.

Avec un chiffre d'affaires atteignant un record de 4,9 milliards d’euros l’an dernier en France, le jeu vidéo est devenu le premier marché culturel du pays, devant celui du livre ou de la musique par exemple.
Le secteur a enregistré une croissance de 15% en seulement un an.

Globalement, le chiffre d'affaires du jeu vidéo est porté par la croissance généralisée des trois "écosystèmes" : consoles, PC et mobiles.
Bien que l'écosystème des consoles reste le moteur de l'industrie du jeu vidéo au sein de l'Hexagone, on observe une envolée spectaculaire du marché sur mobile (+22%). Ce phénomène est lié au taux d’équipement en smartphones et en tablettes, alors que les fabricants apportent des innovations chaque année.

Graphiques tirés du rapport du SELL - lien

Le jeu vidéo en France profite en réalité de la dématérialisation du marché et de l'apparition des dispositifs de réalité virtuelle.

Pour gagner de l'argent et des parts de marché, les entreprises du secteur mettent en place de nouveaux mécanismes de monétisation, dans le but de fidéliser les joueurs et de créer une certaine addiction.

Tout d'abord, les abonnements mensuels ou annuels étaient monnaie courante, notamment concernant les MMORPG : les joueurs payaient régulièrement pour avoir accès au produit en question. En contrepartie, le jeu était souvent mis à jour et optimisé : nouveaux contenus, correction de bugs....

Le free-to-play (F2P) est arrivé par la suite avec des opus tels que League of Legends ou HearthStone. Même si le jeu de base est gratuit, le sens de free-to-play a dérivé avec l'arrivée d'améliorations optionnelles internes au jeu qui sont payantes (skins de champions, pack de cartes....), dont les joueurs n’ont pas formellement besoin mais qu’ils acquièrent néanmoins de manière massive.
Dernièrement, c'est le jeu Fortnite qui a fait son apparition parmi les F2P et le succès de sa boutique lui a permis de devenir l'un des jeux les plus lucratifs de l'année...

Les méthodes de monétisation liées aux jeux free-to-play ne sont plus réservées uniquement aux jeux initialement gratuits. En effet, pendant longtemps, le jeu Counter Strike Global Offensive était payant, mais les joueurs devaient en plus acheter des clés spéciales (plus de 2 euros chacune) afin d'ouvrir des coffres contenant des armes personnalisées ou des graffitis. Du contenu pas forcément utile il faut l'avouer mais très apprécié par la communauté.

Ci-dessous, nous avons signalé la croissance du marché digital. Ce phénomène est étroitement lié à l'arrivée de plateformes de téléchargement (Uplay, Steam, Bethesda, Origin...) et surtout à la sortie régulière de DLC, qui désigne toute extension d'un jeu qu'il est possible de télécharger.
Les DLC sont souvent payants. Nous prendrons pour exemple Sudden Strike 4, un jeu de stratégie à bas prix, qui a sorti en 18 mois 4 extensions/campagnes supplémentaires (Guerre du Pacifique, Offensive en Finlande...), chacune étant à un prix compris entre 10 et 20 euros. Oui, cela rallonge la durée de vie du jeu, mais cela rallonge surtout son tarif global.

Une autre manière de se faire de l'argent est d'intégrer des publicités, souvent intrusives. Ce procédé est très utilisé pour les jeux sur smartphones. Le principe est simple : une entreprise signe un accord financier avec les développeurs afin de placer des publicités dans les menus ou durant les phases de gameplay.

Ces nouveaux systèmes ont un impact réel sur les consommateurs.

Tout d'abord, un impact financier. Il n'est pas rare de voir des joueurs accumuler des DLC ou des micro-transactions afin d'améliorer son jeu ou ses personnages. Tout ceci a un coût et cela peut atteindre plusieurs centaines ou milliers d'euros sur les factures. Les jeux vidéo peuvent ainsi être un passe-temps très coûteux.

Ensuite, un impact psychologique. En effet, le système de coffres à ouvrir pour obtenir du contenu (aussi baptisé "loot-boxes")  s'apparente selon certains pays aux jeux d'argent. Ceci est clairement lié à l'effet addictif ou compulsif de certains opus.

Enfin, on observe l'apparition sur Internet de sites tiers qui proposent des clés d'activation. Du point de vue du consommateur, la chose est parfaitement légale. Mais le consommateur ne connaît pas forcément la provenance de ces clés. Un manque de transparence et surtout un risque pour les utilisateurs !
Certains sites ont effectivement vendu des clés qui cessaient de fonctionner ou demandaient un accès à distance aux ordinateurs des clients.

Et puis, il faut souligner que les entreprises et les régies publicitaires analysent/exploitent les traces laissées par les internautes. Grâce à des scripts ou des cookies, les annonceurs établissent des profils/empreintes numériques en se basant sur l'historique des recherches, l'historique des téléchargements ou l'historique des sites consultés. Ces informations sont ensuite utilisées afin d'influencer les futurs actes d'achat.

Comment peut-on se protéger efficacement ?

Première solution : mettre en place un contrôle parental sur les appareils mobiles afin de verrouiller les paiements pour certaines applications.

Deuxième solution : installer des bloqueurs de publicités, ou plus simplement utiliser le navigateur sécurisé gratuit Avast Secure Browser.

Troisième solution : utiliser la fonctionnalité
AntiTrack Premium de Avast, qui permet d'assurer la confidentialité en ligne des internautes.

La seconde partie de l'article sera consacrée à une présentation du produit.

Commençons par la procédure d'installation
:

Nous ouvrons le logiciel antivirus.

Vous pouvez trouver
AntiTrack Premium dans l'onglet "confidentialité" au sein du logiciel, aux côtés de l'Agent Webcam.

Ecran d'ouverture :

AntiTrack Premium comporte de multiples composants.

Voici une capture d'écran générique du tableau de bord principal :

AntiTrack Premium permet en premier lieu de visualiser à quels moments les tentatives de suivi sont bloquées et quels sites tentent de suivre.

Plusieurs éléments et graphiques sont visibles sur le tableau de bord :

  • activité de pistage : affiche la date et l'heure des tentatives de suivi récentes, les sites web qui vous suivent et l'origine du pistage
  • sites de pistage principaux : les sites web qui tentent de vous suivre le plus fréquemment
  • nombre total de tentatives de pistage bloquées

Vous pouvez aussi  cliquer sur "améliorer mon score de confidentialité".
Plus vous avez des composants de protection de confidentialité activés, plus le score est élevé.

Plusieurs codes couleurs sont utilisés :

  • les notifications en rouge : problèmes sérieux qui empêchent la protection de votre vie privée en ligne par AntiTrack Premium
  • les notifications en jaune : suggestions pour améliorer davantage sa confidentialité en ligne
  • les notifications en vert : composants activés et efficaces

Nous décidons de protéger un navigateur supplémentaire : Firefox.
Nous cliquons ainsi sur "navigateurs non protégés", ce qui nous renvoie à l'onglet "navigateurs" situé sur la gauche de la fenêtre applicative.

On clique sur la case de couleur liée à Firefox. On obtient ceci :

Tout fonctionne ainsi par l'installation d'extensions. Seuls les navigateurs Firefox, Edge, Google Chrome, Opera et Internet Explorer semblent compatibles.

Cliquons sur "ajouter la protection Firefox". Il faut désormais activer l'extension dans le navigateur.

Confirmons cette activation sur AntiTrack Premium :

Le score de confidentialité a augmenté (50 au lieu de 40) :

Nous commençons à naviguer sur Firefox. Nous consultons des sites tels que Jeuxvideo.com et Hdgame.net.
Nous obtenons plusieurs notifications sur des tentatives de pistage et ce nouveau tableau de bord :

Pour avoir toute la liste des tentatives de pistage, il suffit de cliquer sur "tout afficher" dans la partie "activité de pistage".

L'onglet "Mes Traces" est quant à lui réservé aux cookies et aux fichiers de traçage pour chaque navigateur installé. Le but est ici de bloquer les publicités ciblées.

Pour supprimer des cookies, il suffit de cliquer sur l'onglet "effacer". Une multitude d'options s'offrent à vous. Exemple pour Mozilla Firefox :

Attention ! Les cookies sont parfois utiles pour rester connecté à un site par exemple. Le logiciel donne la possibilité d'établir une liste blanche de cookies :

Les entreprises du secteur du jeu vidéo tentent de trouver de nouvelles sources de revenus.
Cela peut se manifester par le biais de publicités (plus ou moins intrusives) ou par le biais de cookies, qui permettent de constituer l'empreinte numérique des internautes et de recueillir leurs habitudes de consommation.
Et puis elles mettent en place de nouveaux mécanismes de monétisation, qui peuvent avoir un impact financier et psychologique, surtout que certains jeux sont très addictifs.
 
Comme nous avons pu le constater, AntiTrack Premium est un outil conçu pour aider les utilisateurs à gérer leur identité et leur confidentialité sur Internet.
Il s'appuie en réalité sur 2 éléments : une application autonome et une extension pour navigateurs web (Google Chrome, Edge, IE, Firefox et Opera sont compatibles).

AntiTrack Premium permet ainsi d'effacer les cookies, les données de navigation...de bloquer les tentatives de pistage et de masquer son identité numérique. Et ceci sans aucun problème de performances

Si vous voulez davantage d'informations, veuillez vous rendre ici :
https://www.avast.com/fr-fr/antitrack

Posted by : MarcoR | The 28/06/2019

AutorComment
- No comment -








banner